Alaric-Chevalier d'Émeraude

Étant né dans le royaume de Turquoise, j'ai été élevé avec certaines peurs, celle le la mort et des démons est ma pire faiblesse. Malgré tout, je reste un homme courageux devant l'ennemi et ai un sens de la justice aiguisé. Je suis une force tranquille, je suis calme, patient et doux; mais lorsque je dois défendre mon continent, je deviens un véritable démon et ne cesse de combattre que lorsque l'ennemi a été repoussé. Je suis un homme malheureusement brisé par la vie, cette dernière m'a enlevé la femme que j'aimais. Je suis donc extrêmement renfermé sur moi-même.

Venant de la classe paysanne, je suis un habitué de l'extérieur et des tâches ménagères, je vais donc souvent aider les Émeriens aux champs, ce qui me donne un teint bronzé et une bonne musculature. Mes yeux bruns noisettes brillaient d'amour autrefois, maintenant ils sont bruns ternes. Mes cheveux noirs autrefois courts et bien coiffés sont maintenant bouclés et rebelles.Je porte souvent une tunique noir, des braies noires et une paire de bottes en cuir brun. Je porte toujours ma ceinture d'armes. Lors des cérémonies ou des combats, je change ma tunique noire pour une verte et mets ma cuirasse sertie d'émeraudes par dessus.  

Mon histoire a eu un début heureux, je suis né d'un mariage d'amour entre deux paysans turquais. Ma mère me donna le nom de son frère adoré, mort après un raid de l'Empereur des Insectes. Dès mon plus jeune âge, je commençai à montrer les signes avant coureur de la magie, en pleurant j'ai incendié notre table à manger. Mon père m'emmena à Émeraude et me laissa au vieux Mage qui entraînait la future génération de guerriers magique. Je commençai donc à étudier avec les autres enfants et fis la connaissance de Méane, une jeune magicienne comme moi. Nous devinrent vite amis et fûmes adoubés en même temps. Des années plus tard, je ressentis l'amour, cet amour provenait de ma bonne amie et elle l'éprouvait pour moi. Je l'épousai en grande pompe. Nous fûmes heureux pour quelques années, lorsqu'un jour le lien entre nous se brisa, cela m'indiqua son décès. Je sombrais dans une grande dépression, dont je commence à sortir.