Les Chevaliers d'Émeraude
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Les Chevaliers d'Émeraude

Les Chevaliers d'Émeraude nouvelle génération
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

 

 Désertion

Aller en bas 
AuteurMessage
Mykaëlle

Mykaëlle


Messages : 30
Date d'inscription : 30/09/2009

Désertion Empty
MessageSujet: Désertion   Désertion Icon_minitimeMar 9 Fév - 2:56

Au moment de sauter dans le vide, je sentis une main la rattraper. Puis, sans le savoir comment, je se retrouvai dans les bras de Ken. Si ça continuait comme ça, il allait se retrouver encore plus amoché qu'il ne l'était déjà. J'essayai de me débattre, mais ce fut impossible, il était trop musclé pour moi. Je dus donc attendre patiemment et fermer les yeux. D'un sens, c'était charmant, mais de l'autre, je trouvais ça macho. Mais enfin, je n'était pas pour me plaindre, c'était la première fois qu'on faisait véritablement attention à moi. Je me blottis donc quelques instants, mais ils ne furent pas assez longs. Je sentis un choc qui signifiait qu'on avait frappé le sol. Nous déboulâmes quelques mètres encore, puis nous nous retrouvâmes un par-dessus l'autre. Je me relevai lentement, secouai mes vêtements de la poussière, puis aidai Ken à faire de même. Je dus retirer un morceau de roche qui s'était enfoncé très profondément dans son bras. Le prince déserteur lacha un petit cri de douleur lorsque je l'enlevai. Je déchirai un morceau de mon chandail pour attacher sa plaie qui commençait à saigner.

- Ah non? Dommage, par le visage de peur que tu as fait lorsque je me suis jetée dans le vide, je l'aurais presque cru.

J'affichai un petit sourire de victoire, puis commençai à marcher dans ce territoire qui m'était en fait... Complètement inconnu. Je lui avais menti; je n'avais aucune idée comment revenir de ce trou. Mais pour l'instant, on voulait notre peau de l'autre côté de cette chaîne de volcans. De toute façon, ce qui comptait pour ce moment, c'était de manger, puisque je pouvais entendre nos deux estomacs gargouiller. Nous marchâmes dans un désert complet pendant quelques heures, pour finalement trouver un rue, qui était en fait le bébé du ruisseau. Nous pouvâmes s'y abreuver un peu, puis nous devâmes continuer notre route, malgré la pluie qui commençait à tomber drue. Malheureusement pour Ken, les éclairs se mirent à tomber tout près de nous. Je ne pus m'empêcher de lâcher un cri. Ces barres lumineuses étaient en fait ma plus grande phobie. Depuis ma tendre jeunesse que je me cache sous les couvertures lors de ces mauvais temps. Mais, cette fois-ci, tout ce que j'avais c'était un rien tout nu.

Pour ajouter un peu de malheur à tout ça, des hommes poilus arrivèrent, armés de lances. Ils étaient trois, nous étions deux. Nous étions désavantagés, mais j'avais confiance en nous. Ils attaquèrent les premiers. Trois lances fonçaient directement sur nous, et je ne pus en éviter que deux. La dernière s'enfonça dans mon abdomen, ce me créa une immense douleur et qui eut pour effet de me faire tomber sur le sol. D'atroces souffrances, voilà ce que j'avais. Je n'avais peine à croire que le sort de Yun était encore plus atroce que le mien, et que c'était moi qui lui avait offert. Mais je me dis que le monde où j'allais vivre à partir d'ajourd'hui allait être semé d'embûches comme celui-là. Je devais m'y attendre et me préparer, sinon la mort allait m'arriver. Je n'avais aucune idée de la façon dont Ken se débrouillait, car la pluie et le sang envahissaient ma vue. Je n'avais déjà plus la force de bouger un bras. La mort était-elle aussi facile? Ça pour une vie aussi compliquée? Cependant, en sentant mon coeur faiblir, je compris que la vie en valait plus la peine. Puis, ce fut le néant.

Quelques instants plus tard, je réouvris les yeux et me relevai, avec peine et misère. Je pus enfin voir le champs de bataille. L'un était mort, et les deux autres combattaient contre Ken. Il avait pris mon katana, et il semblait très bien se débrouiller. Quant à moi, je pris mon fidèle poignard, et fonçai sur un des deux ennemis. Je ne me gênai pas pour lui décapiter la tête, pour ensuite lui trancher les deux mains, au cas où il aurait un spasme après sa mort et qu'il voudrait nous attaquer. Tuer des hommes ne me faisait plus peur maintenant que j'avais tuer mon meilleur ami de mes propres mains. D'une certaine façon, j'avais quasiment envie d'en rire, mais je me retenais, signe de respect. Malheureusement, je ne sus aider Ken contre son dernier ennemi, car toutes forces m'avaient abandonnées. Je m'effondrai dans les sables des territoires inconnus, en espérant que mon prince adoré viendrait secourir sa belle princesse exilée.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Désertion Empty
MessageSujet: Re: Désertion   Désertion Icon_minitimeMer 10 Fév - 23:22

Comment répondre à son aide? Elle aussi était blesser, mais pas autant que moi... Comment suis-je arriver ici? à se que je voyait, un homme légèrement plus de pilosité que les humains (sarcastique) était sur le point de l'attaquer. Je ne savais point pourquoi ils étaient là. Mes yeux bleus était grand ouvert, remplis de peur. Ce territoire dont il était inconnue de tous... Mais c'était quoi le problème? J'entendais Myka faire des bruit effrayer. Alors, je leva la tête, en regardant la bête dans les yeux, avec un de ces regards les plus dominant que j'ai pu faire dans ma vie. La situation était en état de panique. On ne pouvait pas perdre la vie ici! Car j'ai décider de mourir d'une manière cool. Oui, je sais, c'était un peu bizarre à dire, mais je voulait mourir digne d'un héros comme les anciens chevaliers qui est déjà exister sur mon ancienne terre. La bête se tena près de moi, sans attaquer. Mais il était débile où quoi? J'étais faible, pourquoi ne m'avait t-il pas tuer aux même moment? Je disa, d'une voix plutôt sombre, qui s'adressait à la tête, en même temps de me lever faiblement, en tremblant de partout, surtout où ma jambe:


- Un sage m'a déjà dit, sa se passe ici et maintenant, donc... CE COMBAT EST ICI ET MAINTENENT, STUPIDE BÊTE !


Soudain, j'avais un sentiments étrange. Celui que je n'ai pas eu il y a fort longtemps... Ce sentiments de confiance, oui! C'était bien ça. J'allais battre en vitesse ce foutu homme-félin qui veut ma peau, et celle la princesse. Je le regardait avec un de mes regards les plus haineux, mais dès qu'il essayait à m'attaquer, à me sauter dessus pour me gober un bras, je me tassait et j'utilisais les avantages de ce terrain; le sable. Il y en avait en grande quantité, même pourrais-je dire en kilomètre carré. J'enfonça mon pied rapidement dans le sable et le releva aussi vite vers sa direction pour qu'il soit aveugler et que je sois camoufler. Je me sentais très victorieux d'avoir utiliser ma logique, mais je ne l'avais pas utiliser jusqu'aux bout; si ce sont des hommes-félin, ils pouvaient renifler ma présence. Donc je pris se bref instant où ses yeux chauffaient aux sables terriblement chaud par la faute de ce soleil si étincellent.

à ce bref instant, je pris le kunai(dague japonaise) que j'avais subtilement ''emprunter'' à Myka. Il était d'un noir nuit et il y avait de magnifique motif de dragon en gris pâle. Je le pris de ma main gauche, le retira de ma ceinture d'ors je l'avais prit par une main et j'accotai ma paume sur la fin du poignard et j'éloignai le plus possible l'arme de mon corps. À un certain moment, j'avais fermer les yeux et tourner ma tête vers la gauche, comme un peureux. Mais quand j'entendis un cris de mort d'animale, j'étais confus. J'avais tuer quelqu'un qui vivait... C'était affreux. De plus pour me pourrir mon humeur, je me sentait me perdre moi même et devenir une autre personne... J'entendais une voix si grave à comparer à la mienne qui était de plus en plus forte.... J'était si effrayer que je tomba sur mes genoux, devant la bête morte et je ne pus m'empêcher de mettre mes deux main sur les côté de ma tête. Je criait et je me débattais mentalement. Le reste de la fenêtre ce passa sur ma tête....

**** ****



- Où suis-je... Pourquoi je m'entends tant penser...? Cette place... Elle est si propre, mais si démoralisante... Pourquoi suis-je ici...? Je me demande ce que je dois faire pour sortir de la !

Cette place était complètement d'un blanc aveuglant... Je ne pus m'empêcher de passer mon bras pour protégé de cette couleurs qui fessait souffrir mes yeux. Pourtant, j'étais quand même vigilant. Je savais que quelque chose allait se présenter. Peu à peu, mes yeux s'habituaient à ce blanc, donc j'avais pu retirer mon bras de là. À ce moment, il y avait des écriture noir qui commençait à apparaitre sur le sol. C'était de l'écriture ancienne d'aux moins mille ans. Et oui! Il me fesait apprendre ça, à place de sortir de mon foutu pays. Il y était écrit « Le mal, est le clé de ce monde. Pourquoi être si gentil si en retour, nous avions rien? »

- Si stupide, dis-je d'un air assez froid. Le mal fait ce monde pourrit. Si ça serait toujours la petite paix-paix partout, il y en aurait pas de problème! J'aurais pu donner mon trône à un de mes petits frères et vivre tout seul. En plus, si tout le monde serais méchant sa serait le vrai désordre totale dans ce monde. Dit moi qui es-tu, auteur de cette écriture noir saccadé !?

Soudain, je vis en avant de moi une silhouette noir se poser à 10 mètres en avant de moi. Je voyait que ses yeux étaient d'un rouge sang et en même temps, je vis un sourire débilement sadique; Il pouvait presque défoncer ses joue, tellement qu'il souriait. J'avais pu remarquer qu'elle avait la même forme que moi. Je cru pendant de bref instant que c'était moi. Cependant, il y avait quelque chose d'autres qui nous différencais les deux; il avait de petites ailes de chauve-souris.

Pas mal, hein? J'ai toujours été le poète préféré d'Acurétari.
Il trouvait que ça respirait le mal, ces textes en noir.


Je n'en croyait pas à mes yeux et en parlant d'eux, il était grand ouvert. Pourquoi il avait autant d'assurance? Il était quoi !!?? je pris panique et je lui cria:

- MAIS T'ES QUOI, TOI? TU FAIS QUOI, DEPUIS QUAND T'ES LÀ!?

Soudain, son sourire s'était un peu calmer et il avança vers moi. Dans la pièce où on était, on entendait mes cris résonner. Puis soudain, il marcha vers moi, d'un sourire plus calmer. J'entendais ses bottes claquer et puis résonner autant que ma voix. Le silence s'était installer entre nous et on entendait que lui. Tout-à-coup, il ouvra la bouche pour parler:

- Petit curieux. Il y a pas plus que 30 secondes, tu étais si confiant, mais où est-elle donc passer? Bon, je ne peut pas te blâmer, même moi dans un miroir, je me trouve anormalement beau, j'en cris presque et j'en aie le goût de m'en mutiler. Bon, bon, bon. On des questions? Je me ferait un plaisir de te répondre. Réponse numéro un, Je suis quoi? Je suis toi. Ce qui signifie, que ces ''stupides écritures noires'' sont tes plus profonde penser. Tu es fait pour le mal, Ken. Mais je te voit borner à rester gentil. Pourquoi? pourquoi tu reste gentil s'il t'ont attaquer parce que tu as trucider un simple villageois. Un prince et une princesse font ce qu'ils veulent. Tu ne peux plus retourner en arrière. Il n'y a plus d'espoir ni d'échappatoire à cette situation. Enfin oui, il y en a une échappatoire à la mort. De 2, je fais quoi? J'ai rien d'autre à faire mise à pars de te regarder. Et de trois, Tu devrais avoir un peux plus de respect. Je suis arriver avant toi dans ton esprit. Acurétari m'a dit que c'était ma place ici. Il m'a mit ici avant que tu naisse, donc un peu plus de respect pour les ainés, disait t-il avec un sourire malicieux.

J'étais simple décourager, mais j'avais eu une belle lueur d'espoir, je ne pus m'empêcher de répondre rapidement :

-- Dites-moi vite comment me sortir de la mort qui semble me semble proche! S'il-vous-plait! Je ferais n'importe quoi!

Mon double de moi souria comme un débile à nouveau. J'était troubler...

Tu devras te rendre à une personne prénommer Lluvia. Laisse toi emporter par ce machin qui pourchasse Myka et tu arriveras où il habite; Le pays des araignée. À ce moment, où il te prendront, ils vont te transporter, tu n'auras pas à marcher, on diras que tu seras vendu en tant que peau blanche à une araignée géante. Pour cette partie là, tu devras te débrouiller pour sortir de la cage qu'elle vas t'enfermer. Puis après, quand tu rencontreras le grand maitre Lluvia, tu lui diras que c'est Lekeri qui t'envoie ici. Tu pourras discuter avec. Mais il est bien important que tu mentionnes Lekeri. Le prix, c'est qu'à chaque semaine, je vais devoir prendre possession de ton corps au moins pendant un jour. C'est peu, j'ai jamais fait un marché aussi simpatique, mais juste parce que c'est toi qui fait ça, mon cher. Donc, rappelle toi, laisse toi faire... Au revoir....

Sur ces dernières paroles, le petit diable lui avait fait un clin d'œil avec toujours le même sourire qui était fixe. Je me sentais revenir à moi petit à petit. Cette lumière blanche ce volatilisait en morceau et s'en allait en forme de tempête par le ciel. Sa partenaire semblait avoir dire eu. Ken était toujours à genou, les mains sur chaque côté de sa tête, et ouvra les yeux calmement. Il se leva tranquillement et alla marcher vers l'homme poilue qui tracassait la belle Myka. à un moment où il était à côté du félin, il tenda son bras pour qu'il l'emprisonne. Il regarda Myka d'un regard sérieux en lui disant:


Fais-moi confiance, je sais exactement quoi je fait... C'est le meilleure pour nos deux...
Revenir en haut Aller en bas
 
Désertion
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Chevaliers d'Émeraude :: Hors Jeu :: Corbeille-
Sauter vers: