tristesse et aveux...

Messages : 16 Date d'inscription : 22/03/2009

Lann avait assisté à toute la scène, horrifiée. Nathan n'avait même pas su réagir et avait quitté la salle, lui jetant un regard en pleurs. Jamais elle ne l'avait vu ainsi. C'est avec le coeur en pièces, que la jeune femmme avait suivit le grand chevalier dans la cour. Elle ce sentit encore plus brisée lorsquelle appercu l'homme de ses rêves en larmes au beau milieu de la cour. Il était agenouillé dans la pluie. Heureusement que le pont-levis était monté et que les paysans avaient quitté. La jeune femme se dirigea vers lui, et s'accroupit, en enlevant les cheveux qui obstruaient le visage du Chef. Elle ne s'avais pas quoi dire pour tenter d'apaisée le coeur endorlori de Nathan.

- Je suis sûre qu'il... Il ne voulait pas te... En fait...

Elle essuya ses larmes avec son index, ne sachant pas comment éteindre sa douleur.

- Écoute Nathan je...

L'image de la sorcière traversa son esprit. Devait-elle le faire ? Non? Elle ne le savait pas. Seulement, si elle ne lui disait pas, jamais il ne le saurait, et jamais il ne pourrait voir ses sentiments..

- Je t'aime..

Suivant ses paroles vint un doux baiser, que curieusement, Nathan ne refusa point.

En quittant ses hommes, Nathan s'était dirigé dehors . Pourquoi là ? Car il était sur que personne ne le suivrait dans cette mauvaise température. Il s'agenouilla sur le sol, au milieu du terrain. Il enfouit son visage dans ses mains. Il n'était même pas capable de se souvenir la dernière fois qu'il avait pleuré. Cependant, il venait d'éclater. Comment serait-il si il serait resté chez ses parents? Sûrement pas aussi difficile avec lui-même qu'il l'était aujourd'hui. Sans même le savoir, il souffrait en silence, pour ne pas montrer ses faiblesses aux autres Chevaliers. Un Chef ne pouvait pas se permettre d'avoir des faiblesses ! Il soupirait au travers de ses sanglots, lorsqu'il sentit une main venir essuyer ses larmes. Il releva la tête ; Lann l'avait suivi.

La jeune femme semblait essayer de lui parler, mais Nathan ne pouvait l'entendre. Jusqu'au moment où ses lèvres rencontraient les siennes. Il se sentit électrisé, comme avec Emiah. Cependant, il ne pouvait évaluer laquelle lui avait fait le plus d'effet... La sorcière ou la chevalière. Confronté à un dileme, le Chef ne réagit pas tout ne suite. Il se devait de choisir entre la femme qui l'avait toujours supporté, ou bien celle qui se devait de le tuer malgré ses ''sentiments''.

Après quelques instants de réflexion, un mince sourire apparut sur son visage baigné par les larmes. Il s'était rappelé certaines choses et...

- Lann... Je.. Enfin je.. Veux.. Voudrais-tu m'épouser ? Je.. Je me rapelle tout et... Je me rend compte que je t'adore plus que tout.. je sais, c'était peut-être pas le moment mais...

Malheureusement, il n'avait jamais été quelqu'un de très romantique, en étant Chef ou non. C'était quelque chose qui ne se changeait simplement... pas. Voyant que la jeune femme ne répondait tout simplement pas, il combla l'inactivité par un baiser.

Messages : 16 Date d'inscription : 22/03/2009

- Lann... Je.. Enfin je.. Veux.. Voudrais-tu m'épouser ? Je.. Je me rapelle tout et... Je me rend compte que je t'adore plus que tout.. je sais, c'était peut-être pas le moment mais.

J'était bouche-bée. Je ne s'avais pas quoi dire, bien que j'avais une envi folle de lui sauté au coup. Je crois que c'était la phrase que je m'attendais le moin d'entendre. Tout ce passait tellement vite, mais j'étais tellement heureuse. J'étais toujours en train de l'embrasser lorsque je fini par me reculer.

<< Oui! Je le veux. >>

Des larmes de joie roulèrent sur mes joues. Depuis que je le connaissait, je n'avais de yeux que pour lui. Même lorsque nous étions enfant, je ne pouvais m'enpêcher de penser. C'était un peu plus tard que j'ai réaliser de je l'aimais, et ce, plus que tout au monde. Je me pencha de nouveau vers lui et je déposa mes lèvres sur les siennes. Je me souvint rapidement que les écuyers attendait notre retour dans le Hall et c'est à contre coeur que je me sépara de lui. Je me relava pour ensuite l'aidé à faire de même.

<< Heu... je crois que tu est attendu dans le hall mon cher. >>