Arrivé du Prince au royaume de Jade

J'ouvris délicatement la porte, en faisant particulièrement attention à ne rien renverser, mais comme d'habitude, ma mère remarqua mon petit malaise et se permit de me le faire remarquer d'une manière surprotectrice.

-Tu es sûr que tu ne veuilles pas que je vienne avec toi? Il y a beaucoup de tomates dans ce panier et elles doivent toutes se rendrent à bon port!!!

-Ne t'inquiètes pas maman, je te promets que le vieux Harold les recevra toutes! Je n'ai pas besoin de ton aide pour ça!

Je n'en dis pas plus et refermai la porte derrière moi. Je continuai mon chemin d'un pas assez ferme, et à la fois d'une grande prudence. Je croisai de nombreuses personnes dans les rues, d’une habitude si calme, infestée de nombreux habitants en provenance de tous les recoins du royaume. Aujourd'hui, une incroyable excitation envahissait notre domaine puisque la jeune princesse de Jade recevait la venue de son futur mari, le prince Ken, aujourd'hui même. J'ai toujours été en parfait désaccord avec l'arrangement de ce mariage : comment obliger deux personnes qui ne se sont jamais rencontrer de devoir vivre ensemble et de s'aimer d'un amour fade et rustique pour le reste de leur jour, tout ça pour préserver une bonne harmonie entre les deux rois du royaume de jade, et celui d'émeraude... Plusieurs de mes compagnons ne cessent de répéter qu'il rêvent de pouvoir vivre dans de grand palais, porter de beaux vêtements (c'est étonnant de constater que des hommes y pensent... moi je m'en fiche complètement) et de pouvoir manger à leur guise; mais moi, je préfère définitivement la vie que je mène présentement, car j'ai quelque chose qu'eux non pas la chance d'avoir : j'ai le contrôle de ma vie.

Je tournai dans une petite ruelle sombre qui était, quant è elle, vide. Je ne pouvais qu'entendre le bruit retentissant de mes bottes sur le pavé... Ces dernières qui étaient désormais ornées d'un trou suite à une mauvaise chute dans le champ de pomme de terre de maman... Bref, je cognai à la porte en bois du destinataire du panier de tomates, et j'entendis une voix m'autorisant à pénétrer dans le bâtiment.

- Ah! Bonjour Akïïnô! Belle journée n'est-ce pas?

-Et bien, je dirais qu'il y a trop de monde à mon goût!


Le vieil homme se leva péniblement de sa chaise, laissant échapper une petit rire grincent, mais qui, curieusement, avait un ton rassurant.

-Voici donc les tomates que je vous ai commandées.

-Oui, monsieur, ce sont les vôtres.


Le vieux Harold prit doucement le panier et le déposa tranquillement sur un bureau de travail, où on pouvait retrouver de nombreuses feuilles de papiers, ainsi que des plumes et des tâches d'encre. Je pris une grande inspiration, et fus soulagé de constater que l'ancienne odeur de jasmin était toujours présente. C'est moi qui s'occupe des course de Mr. Harold depuis que je suis tout jeune, je suis donc devenu, en quelque sorte, un habitué de cette pièce qui, malgré la température brûlante de l'extérieure, était d'une fraîcheur très agréable.

-Désires-tu te rentre devant le palais pour voir l'arrivée du Prince Ken?

- Sans vous contredire Monsieur, je ne peux pas dire que cet événement m'intéresse beaucoup vous savez... Je ne me suis jamais très intéressée à cette histoire, mentis-je.

- Et bien, de nombreuses personnes m'ont raconté que le Prince était d'une beauté incomparable, et que ses yeux étaient d'une intensité tel que la mer.

Je toussai légèrement.

- Et pouvez-vous me dire en quoi cela me concerne, monsieur?

Le vieil homme se retourna et fixa mon regard. Je pouvais ressentir une certaine hésitation dans ses yeux, et il devait sûrement ressentir de la peur dans les miens.

- Non.. Et bien, pardonne-moi, ma cervelle me joue des tours on dirait; je voulais dire, que la princesse de jade et une très jolie jeune femme...

Il avala sa salive d'une manière quelque peu angoissée; et je fis de même de mon côté. Je passa ma main derrière ma tête et détourna mon regard... Le savait-il vraiment? Je pris une grande respiration et tenta de me rattraper...

Bon, et bien, je vous souhaite une bonne fin de journée monsieur Harold...

Je l'entendis souffler un "au revoir" à peine perceptible avant de quitter la pièce d'une manière qui aurait pu sembler précipité.


Mon esprit étant rendu si vague, n'apercevait pratiquement plus l'agitation autour de moi. Je ne pouvais repenser qu'à ce moment atroce que venait de vivre ma pauvre âme. La même et affreuse question se répétait sans arrêt dans ma tête, et si la réponse était bel et bien positive, le vieux Harold aurait tous les droits de me jeter en prison pour que je puisse y périr pour le reste de ma vie.... ou encore serais-je tuer?

Je fus soudainement sorti de mes pensées quand un porc gras atterri, non de manière délicate, dans mes bras. La jeune créature atrocement effrayée regardait autour d'elle de manière anxieuse. Je levai les yeux de la bête, et je vis un gamin en train de courir vers les champs de blé pour s'y réfugier. Je ne pu m'empêcher de lâcher un juron en le voyant courir lâchement se cacher en me laissant avec cet animal dans les bras. J'étais sur le point de déposer l'animal sur le sol quand j'entendis:

C'EST LUI, JE LE RECONNAIS!! C'EST LE GAMIN QUI A VOLÉ MA BÊTE!!

"Je le reconnais mon oeil! Ce n'est aucunement moi qui ais volé ce stupide porc" avais-je envie de crier, mais bon, qui m'aurait cru? Je n'eu pas d'autres choix que de laisser l'animal s'effondrer sur le sol et de courir à mon tour pour fuir le stupide fermier et la milice qui voulait ma tête. Je courus en direction du champ de blé à mon tour, en espérant croiser le vrai voleur, mais fus très déçu de constater qu'il s'était bien caché. Je dépassai rapidement les champs de blé du royaume pour me retrouver sur une plaine complètement déserte, malgré cela, je pouvais toujours entendre les cliquetis du fourreau qui heurtait l'armure de mon prédateur. Après plusieurs minutes de course, mes poumons commencèrent à brûler, mon souffle se couper. Je réussis à me rendre jusqu'à la rivière où ma course s'arrêta.. J'étais incapable de continuer. Je commençais à tranquillement imaginer mon séjour en prison dans les cachots sombre du château, quand j'entendis des pas en provenance d'une autre direction s'approcher de moi.

Ken arriva lentement, avec deux de ses gardes à côté. Il vit le grand garçon se faire accuser tandis qu'il n'avais rien fait.. Il avait vue la scène. Il n'allais pas laisser passer se genre d'erreur. Il savais comment la vie de paysan était difficile. Il alla vers sa direction, mais un de ses garde retenait son bras droit en dis:

- Prince Ken, vous n'allez quand même pas vous salir votre majestueuse main pour ce paysan. On s'en fiche, cela ne vous touche pas.

Le garde regarda Ken et vit qu'il ne fit rien. Il pensait qu'il allait écouter ses conseille, mais à la place... Le jeune Prince lui avait donner un coup dans le ventre très fort pour qu'il tombe par terre. L'autre garde le poussa par terre, pour ensuite prendre ses pieds et l'emprisonner ou encore l'assommer. Il devait réfléchir..Vite... Rien était à la porter de sa main... Mise à part du sable. Il pris une poignée généreuse dans sa main et le lança sur les yeux du deuxième garde. Ken se releva, et lui donna un bon coup de pied dans les côte.

Il se mit devant l'homme qui était avec le cochon. Il regarda bien froidement le boucher et sorta quelques mots:

-Dégager d'ici... Ou je me m'arrange pour que vous soyez exécuter se soir. Moi, prince d'émeraude, je vous le jure.

-Dégagez d'ici... Ou je me m'arrange pour que vous soyez exécuter se soir. Moi, prince d'émeraude, je vous le jure.
Mes yeux, étant restés rivés sur les bottes de mon "sauveur", se levèrent précipitamment sur le visage de ce dernier. Mon coeur eut un effroyable raté. La beauté qui se dégageait de son visage était plus qu'incroyable, je n'avais jamais vu homme plus beau de toute ma vie. Son ses yeux bleutés et d'une superbe intensité me fixait d'un regard protecteur, légèrement camouflé derrière ses cheveux raffinés d'une teinte brunâtre. Son nez délicatement tracé était envahi par ne nombreux points de rousseurs, une particularité que j'enviais fortement. Je ne pus m'empêcher de détourner mes yeux de son visage jusqu'à ce qu'il passe sa main sur ce dernier et lorsque celle-ci retomba, je ne pus m'empêcher de la suivre. Je suivais ses délicates veines du regard à travers son bras musclé; ce qui évidemment me fit haïr davantage le corps menu que je possédais. Après quelques secondes, mon étonnement s'estompa peu à peu. Ce qui me fit réaliser à qui j'avais à faire, ce n'est pas tout le monde qui se promène avec deux gardes et d'aussi beaux vêtements...

Je tentai de me lever, mais trébuchai péniblement. Je sentis mes joues se rosir (et oui, malgré moi, j'ai tendance à rougir très facilement). Je réussis à me rattraper de justesse. Je me tenais désormais debout devant cet homme, qui était d’une taille légèrement plus petite que la mienne, et osa avec beaucoup de timidité lui adresser la parole.

Aurais-je l'honneur de connaître votre nom? dis-je en affichant une moue interrogatrice tout en sachant parfaitement que cet homme était le futur mari de la princesse de jade.

Ken regarda silencieusement l'homme, qui avait rougis. Lui fesait- il de l'effet? Impossible. C'est une maladie qui guérit (se qu'il croit) et que même si c'est un paysans, les soins son gratuit partout dans le monde. Ohh misère...

- Je m'appelle Ken. Ken le prince d'Emeraude, comme vous avez vue, j'vous aie aider, mais maintenent j'aimerais que tu fasses pareille pour moi. J'aimerais que tu me mntre une de tes cachette les plus secrète pour ne pas rencontrer la princesse, j'en aie rien à foutre d'elle. Même si je vais vivre dans un autre château encore plsde luxe, j'en aie encore rien à foutre. Le princesse sont très énervante avec leur petite hitoire d'ongle casser. Je te le redis une autre fois, j'en aie rien a foutre des filles, particulièrement elle.

Ken regarda l'homme en avant de lui, qui était beaucoup plus grand que lui, contempla d'un seule regard le paysage qui l'entourait, le paysages ainsi que des beau cerisier de pétales rose pâle qui embêlit toute l'endroit... Jade, un endroit magnifique.

Ken regarda l'atroce réaction de Myka... Atrocement très immonde. Elle venait de mettre toute la honte sur Ken en le prenant de force. Ken aussi, avait une tête de dure. Il la regarda bien dans les yeux et puis soudainement, Ken fit un sourire très sarcastique. Il lui disa d'une voix aigu:

- Mais oui voyons, tue-nous, d'une air si ironique. Non, sérieusement. Toi, tue toi, je men fiche. Une baudruche de moins sur la planète. Stupide princesse gâtée. à regarder ton Katana, tu ne le tient même pas de la bonne manière. Tu vois, tu dois....

Puis, Ken se mit en arrière de la chère princesse, posa ses mains sur les siennes, et puis déplaça ses doiths ou il fallait sur le manche et puis, quand ses doith restait immobile, il resta en arrière d'elle, et fit un coups dans le vide.

- Tu comprends ? C'est beaucoup mieux comme ça, hein? Maintenant, tu n'auras plus l'air d'une novice, avec cette position.

Il se décolla d'elle d'un coup sec et puis il la regarda avec ses yeux bleu profond avec un sourire baveux. Il lui lança :

- Sérieusement, je sais plus sur ton art que toi tu en sais sur le tiens, sa ne vas pas très bien. Qui est ton ''sensei'' que je critique.. Ohh ! a moin que ça soit toi eme qui t'es appris à te défendre ! Oui, sa ne m'étonne pas, tu a bien l'air d'en faire a ta tête, et surtout une tête à avoir des sautes d'humeur.

Puis, a son alaise, Ken s'insala très confortablement sur le saule en fermant les yeux, gardant son sourire.

Alors là, cette princesse devenait beaucoup plus intéressante à ses yeux. Finalement, par ses mouvements qu'il avait vue, il les voyait au ralentit. Tout ce sang pure qui lui avait asperger son beau visage de prince. Les goûte de sang lui dégoulinait et tomba de son menton. C'est à se moment, qu'il se leva avec un sourire sadique qui était né sur son visage, les yeux à moiter clos, en fixant l'homme en noir. Lorsqu'il était complètement debout, il posa son doigt où sur le haut de sa joue gauche et le fit glisser jusqu'en bas, grâce à son sang. Avec se qu'il avait accumuler de sang, il regarda son doigt très fixement en disant:

- Et bien...C'est ça, le sang. Personne n'osait me dire à quoi sa ressemblait. C'est drôle, mais c'est stupide appeler cela du sang! J'appellerais sa plutôt de l'eau rouge, disa t-il très calmement. Myka-san, passe moi ton katana que je lui passe son coup finale !

Le prince avait changer de caractère avec la princesse. Il avait rajouter le ''san'' pour être plus polie, comme il le savait bien dans son pays.

Des lances! Je venait de me réveiller! Cette haine m'avait vraiment envahi de plus belle ! Qu'est-ce que je venait de faire, ne m'avais-je pas été prit en otage? J'étais en panique, au sommet de la colline. Avant qu'elle eu l'idée de sauter dans le vide, je la regardait dans les yeux... Mes yeux d'un garçon tout simplement perdu et en panique, qui, pour une fois, voulait retourner chez lui. Non! En y pensant, en fin de compte, il détestait chez lui, au plus profond de chez lui. Il avait toujours cette allure froide chez lui. Personne ne semblait s'y intéresser par sa vrai personne. La raison, pourquoi il haïssait les jeune fille, c'est qu'elles voulaient tous devenir reine, à l'aide de leur charme pour le conquérir. Mais son père était mort, comment il a pu faire une erreur au temps débile!? Il devait.... Non. C'était le moment qu'on lui donne le titre de Ken, l'enfant rebelle. Il pouvait faire tous se qu'il avait envi, maintenant qu'il était un déserteur au yeux des personnes qui voulaient les tuer. Et c'était tant mieux comme ça!

Soudain, on vit le regard de Ken, toujours à moitier clos. Il avait vue la jeune princesse tomber de cette falaise. Au même instant, il l'a rattrapa par sa douce main, puis se jeta avec, mais il l'avait prise dans ses bras, pour ne pas qu'elle soit heurté par les roche. Le jeune prince ce montrait habile, avec la falaise. Il glissait sur les roche, dans aucun problème, lorsqu'il tomba et perda l'équilibre. Il garda dans ses bras la princesse en sécurité dans ses bras, pour ne pas qu'elle aie quelque chose de casser. Puis, quand les deux atterrissaient sur le sol, Ken était vraiment amoché. Des graphignes a longueur du corps, ses vêtement déchirer. Il avait une jambe et un bras de casser. Il se releva avec beaucoup de difficulté, lentement et très sacadé. Il regarda la princesse dans les yeux et lui disant, d'une voix plus grave:

- Ne pense pas que j'ai... fais ça... Par.. euh... ''Amour''... Seulement... Tu m'avais l'air de conaître cette endroit... C'est tout...

Au moment de sauter dans le vide, je sentis une main la rattraper. Puis, sans le savoir comment, je se retrouvai dans les bras de Ken. Si ça continuait comme ça, il allait se retrouver encore plus amoché qu'il ne l'était déjà. J'essayai de me débattre, mais ce fut impossible, il était trop musclé pour moi. Je dus donc attendre patiemment et fermer les yeux. D'un sens, c'était charmant, mais de l'autre, je trouvais ça macho. Mais enfin, je n'était pas pour me plaindre, c'était la première fois qu'on faisait véritablement attention à moi. Je me blottis donc quelques instants, mais ils ne furent pas assez longs. Je sentis un choc qui signifiait qu'on avait frappé le sol. Nous déboulâmes quelques mètres encore, puis nous nous retrouvâmes un par-dessus l'autre. Je me relevai lentement, secouai mes vêtements de la poussière, puis aidai Ken à faire de même. Je dus retirer un morceau de roche qui s'était enfoncé très profondément dans son bras. Le prince déserteur lacha un petit cri de douleur lorsque je l'enlevai. Je déchirai un morceau de mon chandail pour attacher sa plaie qui commençait à saigner.

- Ah non? Dommage, par le visage de peur que tu as fait lorsque je me suis jetée dans le vide, je l'aurais presque cru.

J'affichai un petit sourire de victoire, puis commençai à marcher dans ce territoire qui m'était en fait... Complètement inconnu. Je lui avais menti; je n'avais aucune idée comment revenir de ce trou. Mais pour l'instant, on voulait notre peau de l'autre côté de cette chaîne de volcans. De toute façon, ce qui comptait pour ce moment, c'était de manger, puisque je pouvais entendre nos deux estomacs gargouiller. Nous marchâmes dans un désert complet pendant quelques heures, pour finalement trouver un rue, qui était en fait le bébé du ruisseau. Nous pouvâmes s'y abreuver un peu, puis nous devâmes continuer notre route, malgré la pluie qui commençait à tomber drue. Malheureusement pour Ken, les éclairs se mirent à tomber tout près de nous. Je ne pus m'empêcher de lâcher un cri. Ces barres lumineuses étaient en fait ma plus grande phobie. Depuis ma tendre jeunesse que je me cache sous les couvertures lors de ces mauvais temps. Mais, cette fois-ci, tout ce que j'avais c'était un rien tout nu.

Pour ajouter un peu de malheur à tout ça, des hommes poilus arrivèrent, armés de lances. Ils étaient trois, nous étions deux. Nous étions désavantagés, mais j'avais confiance en nous. Ils attaquèrent les premiers. Trois lances fonçaient directement sur nous, et je ne pus en éviter que deux. La dernière s'enfonça dans mon abdomen, ce me créa une immense douleur et qui eut pour effet de me faire tomber sur le sol. D'atroces souffrances, voilà ce que j'avais. Je n'avais peine à croire que le sort de Yun était encore plus atroce que le mien, et que c'était moi qui lui avait offert. Mais je me dis que le monde où j'allais vivre à partir d'ajourd'hui allait être semé d'embûches comme celui-là. Je devais m'y attendre et me préparer, sinon la mort allait m'arriver. Je n'avais aucune idée de la façon dont Ken se débrouillait, car la pluie et le sang envahissaient ma vue. Je n'avais déjà plus la force de bouger un bras. La mort était-elle aussi facile? Ça pour une vie aussi compliquée? Cependant, en sentant mon coeur faiblir, je compris que la vie en valait plus la peine. Puis, ce fut le néant.

Quelques instants plus tard, je réouvris les yeux et me relevai, avec peine et misère. Je pus enfin voir le champs de bataille. L'un était mort, et les deux autres combattaient contre Ken. Il avait pris mon katana, et il semblait très bien se débrouiller. Quant à moi, je pris mon fidèle poignard, et fonçai sur un des deux ennemis. Je ne me gênai pas pour lui décapiter la tête, pour ensuite lui trancher les deux mains, au cas où il aurait un spasme après sa mort et qu'il voudrait nous attaquer. Tuer des hommes ne me faisait plus peur maintenant que j'avais tuer mon meilleur ami de mes propres mains. D'une certaine façon, j'avais quasiment envie d'en rire, mais je me retenais, signe de respect. Malheureusement, je ne sus aider Ken contre son dernier ennemi, car toutes forces m'avaient abandonnées. Je m'effondrai dans les sables des territoires inconnus, en espérant que mon prince adoré viendrait secourir sa belle princesse exilée.

HJ // Je vais poster mon post ailleur, et tu nauras qua aller répondre la, car vu quon a changé dendroit, eh bien on se doit de sy rendre !